Les médecins participent au crime

Plusieurs victimes signalent que les médecins traitants refusent de faire l'examen pour identifier la présence des nano technologiques (puces RFID, les bio implants, les métaux lourds) dans le corps des patients. 

Notamment, la victime de déploiement des armes à énergie dirigée au Canada, Galina Kurdina, explique que son médecin traitant a trafiqué son dossier médical en notifiant qu'elle est sensible aux ondes de l'environnement, mais cette mention a été faite sans aucune expertise pour la présence des nano technologiques (puces RFID) dans le corps de Galina, ni la prise du sang. Ce médecin n'a pas tenu compte du certificat établi par un médecin américain dans lequel à été clairement indiqué que Galina est implantée par ces technologies (à l'insu de Galina et sans son consentement, d'ailleurs). Ce médecin traitant qui a été retissant à faire l'experise a même suggeré d'allée voir le psychiatre, bien que Galina avait déjà le sertificat mentionnant qu'elle n'a pas de problème de santé de ce genre. 

Galina Kurdina explique également que ce fait avait lieu en 2012, or assez récemment l'info concernant le "syndrome de Havane" à fait le tour du monde et ce sont exactement les mêmes "symptômes" qu'elle a expliqué au médecin traitant en question.

Les victimes de ce crime* n'ont aucun recours, puisqu'il n'y a pas de loi qui aurait pu protéger les victimes.

*En France ce crime est appelé communément l'harcelement électromagnétique, en autre, ce sont les expérimentations medico militaires sans consentement qui consistent à faire implanter les cibles et de les soumettre de force aux irradiations, aux tortures, à la discrimination à plusieurs niveaux, à la discréditation et autres barbaries.

La vidéo de Galina Kurdina en anglais

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