mardi 27 juillet 2021

Pas de recours en France contre les armes à énergie dirigée


À la suite des tortures incessantes par les armes à énergie dirigée j'ai décidé d'appeler la gendarmerie, malgré le danger d'être menacée de la psychiatrisation, car c'est une méthode de dissimulation du crime avec l'utilisation des armes à énergie dirigée contre les civils inoffensifs. 

J'ai publié cette conversation sur télégram canal (⬅️cliquez sur le lien), puisque je considère que c'est  important de savoir qu'en France notamment, il n'y a pas de recours à ce jour contre les armes à énergie dirigée et contre toutes sortes de violences causées par la structure qui déploie ces armes.

Pour préciser, j'ai déjà porté plusieurs plaintes auprès de procureur du Puy en Velay (43), 
mais plusieurs plaintes ont été classées et d'autres sont restées sans réponse. Notamment, j'ai porté plainte pour réclamer la cession totale des tortures par ces armes de mon chien Joy qui a été assassiné depuis par ces criminels, mais plainte même est resté sans réponse. 

Cela dit que les gens peuvent être torturés, assassinés et discrédités en même temps sans aucune possibilité de se défendre, ni de s'en sortir.

C'est un peu comme la chasse dans la volière.

Or, l'harcelement électromagnétique est une vraie déboche médico-militaire.

Nous avons besoin des lois pour la protection des gens et des animaux et leurs réhabilitation, pour la réglementation stricte de la fabrication, la conservation, pour l'expérimentation, pour le trafic, pour l'utilisation de ces armes de quatrième génération basées sur les nouveaux principes physiques. 

Photo 1: la première page de plainte contre l'utilisation des armes à énergie dirigée contre mon chien Joy. 


Photo 2: Encore une plainte pour tenter de me défendre contre l'utilisation des armes à énergie dirigée au procureur de Nice.
Plainte est restée sans réponse.

🔹🔹🔹🔹🔹

➡️ Les informations de ce blog sont énoncées, soit selon la narration de l'auteur du blog, soit selon des faits avérés, soit selon des documents en libre accès. Cependant, en ce qui concerne tout le contenu et toute l'information dans ce blog, l'auteur déclare tout simplement : "Vous pouvez croire ou ne pas croire! Mais il vaut mieux comparer l'info avec d'autres faits avérés du sujet énoncé et des documents en libre accès et en particulier, avec les lois existantes de différents pays, les brevets publiés, les déclarations officielles des développeurs de technologies, etc." ⭐ Abonnez-vous à ma nouvelle chaîne de télégramme https://t.me/direct_fr ⭐Pour soutenir https://www.paypal.me/ElenaSagnol

samedi 24 juillet 2021

L'harcelement électromagnétique est une vraie déboche militaire.

Un micro-ondage de dingue ciblé sur moi. À Moutiers dans le 73600 un bande de criminels internationale, notamment russophone en collaboration avec les français déploi les armes à énergie dirigée. Ce crime est couvert par l'Etat.
L'harcelement électromagnétique est crime de guerre et une vraie déboche militaire.
Qu'ils crèvent tous, puisque aucune lois ne protège pas les victimes, puisque c'est la seule chose qui peut les arrêter à torturer et à assassiner les civils inoffensifs.
Si quelqu'un pense que ce crime concerne que quelques personnes, détrompez-vous. Aujourd'hui, c'est nous, demain, ce sont tous.
Les technologies déployées : les drones militaires (Takomac, les satellites de Ilon Mask avec la micro-ondes 5g dessus, les drones stellaires), les dispositifs d'attaque à distance portables, les dispositifs à micro-ondes dans des lampadaires et dans les phares des voitures, compteurs intelligent (à micro-ondes 5g), antennes relais à micro-ondes et beaucoup d'autres moyens militaires et c'est programmable et modulable à volonté des psychopathes. 

🔹🔹🔹🔹🔹

➡️ Les informations de ce blog sont énoncées, soit selon la narration de l'auteur du blog, soit selon des faits avérés, soit selon des documents en libre accès. Cependant, en ce qui concerne tout le contenu et toute l'information dans ce blog, l'auteur déclare tout simplement : "Vous pouvez croire ou ne pas croire! Mais il vaut mieux comparer l'info avec d'autres faits avérés du sujet énoncé et des documents en libre accès et en particulier, avec les lois existantes de différents pays, les brevets publiés, les déclarations officielles des développeurs de technologies, etc." ⭐ Abonnez-vous à ma nouvelle chaîne de télégramme https://t.me/direct_fr ⭐Pour soutenir https://www.paypal.me/ElenaSagnol

jeudi 8 juillet 2021

Armes à énergie dirigée ont été expliquées au parlement européen.

L'utilisation des armes à énergie dirigée est crime internationale. Les malfaiteurs peuvent traverser les frontières librement avec leurs armes à énergie dirigée et leurs dérivés. Notamment les opérateurs psychotroniques biélorusses et russes peuvent venir en France ou aux États-Unis pour torturer les porteurs des puces RFID. 
Les victimes n'ont aucune chance de se défendre, la police ne prend pas plaintes, le ministre de la défense ne réagit pas aux courriers des victimes. 
Les maires des villes où habitent les victimes font comme si rien n'était, les renseignements généraux se taisent pour le moins. Tout ce beau monde laisse pour mort des gens innocents et innofencifs de toutes âges. 
Il paraît que les certains ont peur ces structures qui déploient les armes à énergie dirigée, certains d'autres sont dans la combine, mais aucun d'eux ne réfléchi absolument pas à un avenir paisible pour tous et pour eux aussi, or l'avenir où nous rentrons sera soit pour tous, soit pour personne. C'est à admettre. 

Parmi les tortures physiques et psychologiques, ils peuvent utiliser également la psychiatrie,  mais à un moment donné ils procèdent à l'élimination physique des victimes. 

En France il n'y a pas de lois pour protéger les victimes de ce crime (tout le code pénal est transgressé), les policiers peuvent dire que l'impacte se passe dans la tête des victimes et que en réalité ce crime n'existe pas. 

Toutefoi, ils connaissent l'existence des armes à énergie dirigée et les possibilités de ces armes. Le rapport a été présenté au parlement européen et publié sur le site du sénat. 
L'extrait :